Résumé
« Je n’aime pas le blanc. D’emblée, je m’exclus, disons-le : »je fais tache ». Mon univers, c’est plutôt le doux fouillis où se cache la vie. Il restera toujours, amassé dans un coin, le tas qu’il ne faut pas montrer, et la pile sournoise dissimulant le papier que l’on cherche. L’intérieur bien rangé, on n’y croit pas pour soi et le très-clean effraie par son état trop vif. » Ni roman, ni essai, ni autobiographie, « L’Eloge du Sale » est plutôt une double parole : critique et acerbe sur notre monde hygiéniste et sans pitié, tendre et parfois lyrique devant l’exubérance de la vie.
Je n’aime pas le blanc. D’emblée, je m’exclus, disons-le : »je fais tache ». Mon univers, c’est plutôt le doux fouillis où se cache la vie. Il restera toujours, amassé dans un coin, le tas qu’il ne faut pas montrer, et la pile sournoise dissimulant le papier que l’on cherche. L’intérieur bien rangé, on n’y croit pas pour soi et le très-clean effraie par son état trop vif. » Ni roman, ni essai, ni autobiographie, « L’Eloge du Sale » est plutôt une double parole : critique et acerbe sur notre monde hygiéniste et sans pitié, tendre et parfois lyrique devant l’exubérance de la vie.
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